Les Républicains Information

Les Républicains (LR) est un parti politique gaulliste et libéral-conservateur français, classé à droite et au centre droit sur l' échiquier politique. Issu du changement de nom et de statuts de l' Union pour un mouvement populaire (UMP) en 2015, il s'inscrit dans la continuité des grands partis conservateurs français ( UNR, UDR, RPR, UMP). Au niveau européen, il est membre du Parti populaire européen (PPE).
Comme l'UMP, il est le principal parti d'opposition durant la présidence de François Hollande ( PS). Après l'élimination de François Fillon au premier tour de l' élection présidentielle 2017 et les législatives de 2017, Les Républicains poursuivent leur déclin électoral lors des européennes de 2019, ce qui accélère le mouvement de départ de personnalités du parti.
Histoire
Origines
Le parti est issu du changement de nom de l' Union pour un mouvement populaire (UMP), après modification des statuts et de la composition de son bureau politique. L'UMP a été fondée le [14].
Lors de sa campagne pour la présidence du parti en 2014, Nicolas Sarkozy promet, en cas de victoire, de changer le nom de l’UMP, ainsi que de réformer ses statuts. Il est élu au premier tour.
C'est le nom « Les Républicains » qui est finalement choisi [15], [16], [17]. Le , Nathalie Kosciusko-Morizet, vice-présidente de l' UMP, présente à Nicolas Sarkozy puis au bureau politique du parti le projet de nouveaux statuts. Les nouveaux statuts sont adoptés par le bureau politique le puis approuvés par les adhérents le lors d'un vote par internet avec 83,28 % de « oui » et un taux de participation de 45,74 % [18]. De même les nouveaux statuts du parti sont adoptés par 96,34 % des votants et la composition du nouveau bureau politique par 94,77 % [19]. Cependant, juridiquement, il s'agit d'un changement de nom et non pas de la création d'un nouveau parti [20]. Le changement est officialisé lors du congrès fondateur du parti le au Paris Event Center, devant près de 10 000 personnes [21].
Ce nouveau nom provoque une polémique [22], [23]. Une pétition, « Nous sommes les républicains », est lancée [24], et l'avocat Christophe Lèguevaques lance une action en justice le afin d’obtenir la nullité de la marque « Les Républicains » déposée à l’INPI au profit de l’UMP [25]. Le tribunal de grande instance de Paris rejette le le recours en référé constitué par quatre partis ou associations de gauche et 143 particuliers, estimant que « le trouble manifestement illicite et le dommage imminent ne sont pas démontrés » [26].
L'historien des idées François Huguenin rappelle que si, à l'origine, à la fin du XIXe siècle, ce sont plutôt les partis politiques de gauche qui ont adopté ce mot (la Gauche républicaine de Jules Ferry et Jules Grévy et l' Union républicaine de Léon Gambetta), la droite l'a également rapidement utilisé au début du XXe siècle (notamment avec la Fédération républicaine) alors que la gauche commençait à préférer dans les noms des partis le mot « socialiste » ; le mot « République » s'ancre dans la droite à partir de 1958 : Union pour la nouvelle République (UNR) puis Union pour la défense de la République (UDR) puis Rassemblement pour la République (RPR) pour incarner la défense de la Ve République créée par le général de Gaulle [27].
À l' Assemblée nationale, le président du groupe parlementaire, Christian Jacob, souhaite que le groupe ne soit pas désigné sous l'abréviation « LR » mais par le nom complet « Les Républicains » [28], [29]. Malgré cette volonté du parti, celui-ci est généralement abrégé « LR » dans les médias [30], [31], [32].
Primaire et élection présidentielle de 2017
Afin de désigner le candidat à l' élection présidentielle de 2017, le bureau politique a constitué une « commission nationale d'organisation de la primaire » composée de 14 membres avec à sa tête Thierry Solère. Le vote à cette primaire est ouvert à tous les citoyens inscrits sur les listes électorales, sous réserve d'une participation de 2 euros et la signature d'un texte précisant : « je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m'engage pour l'alternance afin de réussir le redressement de la France ». Jean-François Copé [33], François Fillon, Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet [34], Bruno Le Maire [35], Jean-Frédéric Poisson [36] et Nicolas Sarkozy [37] sont les sept candidats au premier tour de cette primaire. Le , à l’issue du premier tour auquel participent plus de 4 millions d’électeurs, François Fillon et Alain Juppé sont qualifiés pour le second tour. François Fillon remporte la primaire le avec 66,5 % des suffrages.
Donné un temps favori de l' élection présidentielle de 2017, François Fillon doit faire face à des critiques sur la radicalité de son projet puis à une affaire politico-judiciaire de plusieurs mois, où son retrait est demandé par de nombreuses personnalités de son camp. Il se maintient et termine à la troisième position à l'issue du premier tour avec 20 % des suffrages exprimés. Pour le second, il appelle à soutenir Emmanuel Macron contre Marine Le Pen, même si dans le parti, certains comme Nadine Morano, Éric Ciotti, Henri Guaino, Georges Fenech [38], Guillaume Larrivé [39], Nicolas Dhuicq [40], Christine Boutin et Jean-Frédéric Poisson (du PCD, parti associé à LR) ou le mouvement Sens commun refusent le « front républicain » [41], [42]. L'ancienne ministre de Jacques Chirac Françoise Hostalier déclare pour sa part qu'elle votera Marine Le Pen [43], tout comme l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy Christine Boutin [44]. Laurent Wauquiez a appelé à ne pas voter pour Marine Le Pen, en s'abstenant [45]. Emmanuel Macron est finalement élu et nomme Premier ministre Édouard Philippe, député et maire LR. Plusieurs élus LR signent une tribune où ils souhaitent travailler avec le nouveau président [46], suscitant des tensions au sein du parti, où plusieurs s'y refusent. Bruno Le Maire et Gérald Darmanin sont nommés ministres et sont ensuite exclus de LR [47].
Sous la présidence d'Emmanuel Macron
François Baroin est désigné chef de file du parti pour les élections législatives. Le projet de François Fillon pour l'élection présidentielle est alors amendé concernant des sujets polémiques, notamment sur la TVA, la suppression du nombre de fonctionnaires ou encore des sujets de santé [48]. À l'issue du second tour de ces législatives, le , LR ne compte plus que 112 sièges à l' Assemblée nationale. Mais les dissensions disparaissent pas pour autant entre les députés souhaitant œuvrer dans une démarche « constructive » à l'égard du deuxième gouvernement Philippe et ceux qui y sont beaucoup plus réticents [49]. Le 21 juin, douze d'entre eux, emmenés par Thierry Solère et Franck Riester s'associent avec les seize élus UDI et quelques divers droite pour constituer un groupe autonome à l'Assemblée [50], le groupe Les Républicains (« historiques ») se réduisant à 100 députés reste néanmoins le plus important groupe d'opposition à l'Assemblée nationale.
Le , Thierry Solère, Édouard Philippe, Gérald Darmanin, Franck Riester et Sébastien Lecornu annoncent avoir reçu chacun une convocation en vue de leur exclusion du parti [51]. Bruno Le Maire n'était déjà plus membre de Les Républicains depuis sa nomination dans le premier gouvernement Philippe selon Bernard Accoyer [47]. Le 11 juillet, le bureau politique décide de suspendre ces six personnalités de leurs fonctions exécutives au sein du parti, en attendant qu'une commission spéciale composée des anciens ministres Patrick Ollier et Jean Leonetti et de la vice-présidente du parti, Isabelle Le Callennec, statue sur leur sort à l’automne de cette même année [52].
Le 31 octobre 2017, le bureau politique de Les Républicains exclut Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu, Franck Riester et Thierry Solère [53], tandis qu'il « prend acte du départ » d' Édouard Philippe [53], que celui-ci n'a lui-même pas annoncé, mais sans toutefois l'exclure formellement du parti [54]. Le 28 novembre 2017, plusieurs élus LR lancent un nouveau parti de droite « dissident » [55], Agir [56].
En décembre 2017, les élections internes pour la présidence du parti voient s'opposer Laurent Wauquiez à la « filloniste » Florence Portelli et au « juppéiste » Maël de Calan [57]. Le 10 décembre, le premier emporte largement le scrutin avec 74,6 % des suffrages de 42,5 % des 235 000 adhérents ayant pris part au vote [58]. Le soir du vote, Xavier Bertrand [59] annonce son départ du parti, suivi peu après par Philippe Langenieux-Villard [60], Franck Dhersin [61] — membre fondateur de l'UMP — et Nora Berra [62]. Le président de l' UDI, Jean-Christophe Lagarde annonce, quelques jours plus tard, qu'il exclut toute alliance avec Les Républicains de Laurent Wauquiez, accusé de « dérive droitière [...] allant à l'encontre des valeurs et les objectifs politiques [de l'UDI] » [63] tandis que l'UDI siège à l'Assemblée avec Agir [55] pour former le groupe UDI, Agir et indépendants [64]. En janvier 2018, Dominique Bussereau « se met en congé » de LR [65] puis Alain Juppé annonce « prendre du recul », ne renouvelant pas leur cotisation au parti [66]. Le mois suivant, Dominique Bussereau et plusieurs élus LR quittent le parti, à la suite de propos critiques tenus par Laurent Wauquiez sur la gestion municipale d'Alain Juppé.
Aux élections européennes de 2019, Les Républicains enregistrent le plus mauvais résultat du parti : créditée de 13 % dans les derniers sondages, la liste LR- LC- CPNT, conduite par François-Xavier Bellamy, arrive en quatrième position du scrutin, avec 8,5 % des voix [67]. Après le scrutin, plusieurs personnalités de LR, dont Valérie Pécresse, Bruno Retailleau et Gérard Larcher, remettent en cause la ligne prônée par Laurent Wauquiez et l'appellent à démissionner. Celui-ci démissionne le 2 juin 2019 de la présidence des Républicains tandis que Valérie Pécresse et plusieurs autres élus quittent le parti [68], [69]. Un congrès visant à élire un nouveau président du parti est prévu pour octobre 2019.
Organisation
L'organisation repose sur une direction, un bureau politique et un conseil national.
Historique des dirigeants
Présidents
Photo | Nom | Dates du mandat | Notes | |||
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Nicolas Sarkozy | Ancien président de la République. Président de l'UMP de 2004 à 2007 et de 2014 à 2015. Démissionne après l'annonce de sa candidature à la primaire française de la droite et du centre de 2016. | ||||
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Laurent Wauquiez (intérim) |
Vice-président délégué du parti, il succède par intérim à Nicolas Sarkozy. Député et président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes. | ||||
(le secrétaire général, Bernard Accoyer, est à la tête du parti) | ||||||
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Laurent Wauquiez | Président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes. Il est élu président dès le premier tour lors du congrès du parti, le , face à Florence Portelli et Maël de Calan. Il démissionne après l’échec de la droite aux élections européennes de 2019. | ||||
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Jean Leonetti (intérim) |
Vice-président délégué du parti, il succède par intérim à Laurent Wauquiez. | ||||
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Christian Jacob | en fonction | Président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale. Il est élu président dès le premier tour lors du congrès du 13 octobre 2019, face à Julien Aubert et Guillaume Larrivé. |
Secrétaires généraux
Photo | Nom | Dates du mandat | Notes | |
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Laurent Wauquiez | Secrétaire général de l' UMP depuis , il conserve la même fonction lors de la création du parti. Député et ancien ministre. | ||
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Éric Woerth | Nommé par Nicolas Sarkozy fin 2015. Il quitte son poste après la primaire du parti en . Député et ancien ministre. | ||
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Bernard Accoyer | Ancien député et ancien président de l' Assemblée nationale. Nommé par François Fillon après sa victoire lors de la primaire présidentielle, il est à la tête du parti jusqu'au et l'élection d'un nouveau président. | ||
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Annie Genevard | 23 octobre 2019 | Députée élue dans la 5e circonscription du Doubs, proche de François Fillon, elle est nommée à ce poste par Laurent Wauquiez après son élection à la présidence du parti. | |
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Aurélien Pradié | 23 octobre 2019 | en fonction | Député du Lot, il est nommé à ce poste par Christian Jacob après son élection à la présidence du parti. |
Direction
À l'occasion du changement de nom et de statuts, le président Nicolas Sarkozy désigne Nathalie Kosciusko-Morizet en tant que vice-présidente déléguée et numéro deux, Laurent Wauquiez comme secrétaire général, Éric Woerth assurant le poste de délégué général au projet présidentiel du parti avec Isabelle Le Callennec comme déléguée générale adjointe au projet, Sébastien Huyghe et Lydia Guirous, porte-parole, Luc Chatel et Brice Hortefeux en tant que conseillers politiques [70].
Le , Nicolas Sarkozy désigne 25 nouveaux membres à la direction du parti. Ainsi Valérie Pécresse est désignée comme la « coordonnatrice des élections régionales », secondée par Guillaume Peltier. Maud Fontenoy est nommée déléguée à l'environnement. L'économiste Christian Saint-Étienne, ancien membre de l' UDI, est nommé au poste de délégué à l'économie. Olivier Dassault est nommé président du comité des entrepreneurs, afin de permettre à ces derniers de participer à l'élaboration du projet présidentiel. Édouard Courtial est conseiller politique aux côtés de Brice Hortefeux et Luc Chatel. Bérengère Poletti est secrétaire générale adjointe aux fédérations professionnelles. L'ancien ministre Roger Karoutchi est délégué à la riposte. La commission nationale d'investiture sera présidée par Christian Estrosi. Valérie Debord avec Madeleine de Jessey, leader de l'association Sens commun sont responsables des programmes de formation [71], [72]. Le , Nicolas Sarkozy complète la direction du parti avec des délégués nationaux dont Thierry Mariani, délégué national aux Français de l'étranger, assisté de Christophe-André Frassa. Jean Rottner est responsable des élus locaux et secrétaire général du comité des maires [73].
Après les élections régionales, le , Nicolas Sarkozy annonce une modification de l'organigramme de Les Républicains. Laurent Wauquiez devient vice-président délégué et numéro deux à la place de Nathalie Kosciusko-Morizet, Isabelle Le Callennec devient vice-présidente et Éric Woerth secrétaire général. Le mois suivant, Guillaume Larrivé, Guillaume Peltier, Valérie Debord et Brigitte Kuster deviennent porte-paroles du parti [74] ; critiquant « l'entourage » et la « méthode » de Nicolas Sarkozy, Gérald Darmanin annonce pour sa part qu'il quitte son poste de secrétaire général adjoint [75]. En septembre 2016, Bérengère Poletti et Annie Genevard sont également nommées porte-parole du parti [76].
Fin , après l'entrée en campagne de Nicolas Sarkozy pour la primaire présidentielle des Républicains, Laurent Wauquiez lui succède par intérim au poste de président.
Fin , Bernard Accoyer est nommé par François Fillon au poste de secrétaire général, après sa victoire lors de la primaire présidentielle. Laurent Wauquiez devient premier vice-président, en tandem avec Isabelle Le Callennec. Gérald Darmanin et Annie Genevard sont nommés secrétaires généraux adjoints. Un comité politique est créé (composé de Gérard Larcher, Christian Jacob, Virginie Calmels, François Baroin, Nathalie Kosciusko-Morizet, Thierry Solère, Jean-Frédéric Poisson et Jean-François Copé et où sont membres de droit les secrétaires généraux et les vice-présidents), délibérant de la même façon que le bureau politique. Jean-François Lamour devient président de la commission d'investiture, secondé par deux vice-présidents, Roger Karoutchi et Alain Marleix [77]. Le , Valérie Boyer est nommée porte-parole [78].
Le , Éric Ciotti est nommé secrétaire général adjoint du parti, en remplacement de Gérald Darmanin, démissionnaire depuis le 5 mars [79], [80] à la suite de l' affaire Fillon [81].
Après la victoire de Laurent Wauquiez lors du congrès de 2017, une nouvelle direction est annoncée le 13 décembre : Virginie Calmels devient première vice-présidente et vice-présidente déléguée, Guillaume Peltier deuxième vice-président, Damien Abad troisième vice-président, Annie Genevard secrétaire générale, Geoffroy Didier secrétaire général délégué chargé notamment de la stratégie de communication et du porte-parolat, Julien Aubert secrétaire général adjoint chargé de la formation, Valérie Boyer secrétaire générale adjointe chargée des relations avec la société civile, Mathieu Darnaud secrétaire général adjoint chargé des élus locaux, Fabien Di Filippo secrétaire général adjoint chargé des adhésions, Virginie Duby-Muller secrétaire générale adjointe chargée des fédérations, Sophie Primas secrétaire générale adjointe chargée des relations avec les parlementaires, Lydia Guirous, Gilles Platret et Laurence Sailliet porte-paroles.
Virginie Calmels est remplacée par Jean Leonetti le 17 juin 2018 [82].
- Président : Christian Jacob
- Vice-président délégué : Guillaume Peltier
- Vice-présidents :
- Secrétaire général : Aurélien Pradié
- Secrétaires généraux adjoints :
- Mobilisation et Force militante : Fabien di Filippo
- Animation et Fédérations : Sophie Gaugain
- Formation, École des Cadres : Raphaël Schellenberger
- Jeunesse et Rénovation : Pierre-Henri Dumont
- Outils de communication : Philippe Mouiller
- Relations avec les mouvements politiques étrangers : Ronan Le Gleut
- Secrétaires généraux adjoints délégués :
- Auvergne-Rhône-Alpes : Alexandre Vincendet
- Hauts-de-France : Julien Dive
- Bretagne : Philippe Paul
- Ile-de-France : Sophie Primas
- Occitanie : Laurence Arribagé
- Nouvelle-Aquitaine : Guillaume Guérin
- Sud : Alexandra Borchio-Fontimp
- Centre-Val de Loire : Constance de Pélichy
- Bourgogne-Franche-Comté : Ian Boucard
- Corse : Jean-Jacques Ferrara
- Pays de la Loire : Roch Brancour
- Grand-Est (Champagne-Ardenne-Lorraine-Alsace) : Valérie **Beauvais
- Normandie : David Margueritte
- Conseillers politiques auprès du président :
- Conseillers politiques :
- Rachida Dati
- Marc-Philippe Daubresse
- Hubert Falco
- Alain Joyandet
- Renaud Muselier
- Michèle Tabarot
- Daniel Gibbs
- Didier Quentin
- Edouard Courtial
- Trésorier : Daniel Fasquelle
- Présidente du Conseil national : Annie Genevard
- Président de la Commission nationale d'investiture : Éric Ciotti
- Mission de préfiguration de la Fondation : Jean Leonetti
- Commission chargée de la réforme des statuts :
- Elsa Schalck
- Bernard Deflesselles
- Sébastien Huyghe
- Outre-mer : Christian Jacob
Bureau politique
D'après les statuts de 2015, bureau politique du parti est composé de 115 membres contre 61 pour l'ancienne UMP. L'ensemble des composantes du parti doit y être représenté. Dix-sept personnalités en sont membres de droit, avec les trois premiers dirigeants du parti (président, vice-président et secrétaire général), auxquelles s'ajoutent les anciens Premiers ministres et les anciens présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale. Dix-huit personnalités sont des « membres invités permanents ». Enfin, trois collèges viennent compléter le bureau et sont composés comme suit : 50 parlementaires, 20 élus non parlementaires et 10 représentants des fédérations [84], [85]. À la suite de l'élection de Laurent Wauquiez, la composition du nouveau bureau politique de LR doit être remaniée au mois de janvier 2018 [86].
Conseil national
Le Conseil national détermine, dans l’intervalle des sessions du Congrès, les orientations politiques du Mouvement. Il veille au bon fonctionnement du mouvement. En 2015, le Conseil national est présidé par Jean-Pierre Raffarin. Luc Chatel lui succède le , jusqu'à sa démission, le . Tous deux quittent la vie politique, le premier en juin 2017 [87], le second en novembre de la même année [88]. Début 2018, Jean Leonetti devient président du conseil national.
Congrès
Le Congrès, qui constitue l' Assemblée générale de LR, regroupe les adhérents à jour de cotisation et délibère sur l’action générale et les orientations politiques du parti [89].
Courants internes
Les statuts de l'UMP prévoyaient le dépôt et le vote de déclarations de principe lors des congrès. Cette possibilité est mise en œuvre et choisie par plus de 150 000 adhérents lors du Congrès UMP de novembre 2012.
En avril 2015, la reconnaissance institutionnelle des courants au sein du parti n'est pas reprise dans les statuts du nouveau parti Les Républicains [90]. L'historien Nicolas Lebourg estime alors que « la droite est aujourd'hui invertébrée, elle ne sait plus se différencier des autres courants de pensée pour proposer une offre politique autonome. Elle parle sans cesse de combat culturel mais n'offre pas de conception du monde qui lui soit propre, et se limite en général en cette matière à des problématiques sociétales contre la société multiculturelle […]. Elle n'a d'ailleurs pas de revue théorique, preuve que cette prétendue prétention au combat culturel n'est que slogan » [91].
En mars 2018, un "Conseil des sensibilités", « instance nouvelle qui rassemblera des gaullistes, des libéraux et des centristes, avec pour mission de travailler au projet du parti » est créé par Laurent Wauquiez. Jean Léonetti (vice-président, centriste) plaide à ce moment pour « le rassemblement dans la diversité et l'innovation » [92].
Centristes
Au sein du mouvement, les centristes ou progressistes sont essentiellement issue de l'ancienne UDF. Il s'agit de l'une des idéologies dominantes au sein des droites européennes, à l’image des partis politiques démocrates-chrétiens, et incarne aussi la famille la plus européiste au sein du parti. Ils sont représentés par les « juppéistes » d' Alain Juppé ou bien encore avec Nathalie Kosciusko-Morizet pendant la primaire de la droite et du centre de 2016 avec leur programme prônant l'idéologie progressiste avec les similitudes prôche du social-libéralisme. Idéologiquement ils sont très européens, plutôt fédéralistes (au niveau européen, mais aussi dans leur approche très « décentralisatrice » de l'organisation de l'État français) et revendiquent un libéralisme social [93], [94]. Ils se placent dans l’héritage du Parti démocrate populaire, du Mouvement républicain populaire, du Centre démocrate, du Centre des démocrates sociaux et de Force démocrate. On peut classer dans cette famille les figures de Georges Bidault, de Robert Schuman, de Pierre Pflimlin, d’ Alain Poher, de Jean Lecanuet, de René Monory et de Jacques Barrot. Ils sont représentés par le groupe de réflexion La France Droite de NKM. Ils se situent à l’aile gauche du parti. Ils restent proches du Mouvement démocrate, de l’ Union des démocrates et indépendants et de La République en marche.
Libéraux
Là encore, il existe différentes tendances :
- les libéraux conservateurs regroupent les libéraux patriotes, souverainistes, antieuropéistes et antimondialistes. Proches de l' école autrichienne d'économie, ils défendent un libéralisme interne, une société traditionnelle fondée sur la famille (opposition au mariage entre personnes de même sexe et à l' avortement), un libre-échange modéré dans le cadre de nations, une définanciarisation de l'économie et une promotion de la libre-entreprise, un État minimum laissant place à l' innovation, à la concurrence et à la propriété privée, l' identité nationale française et un patriotisme fièrement affiché, une politique de défense forte, une politique étrangère fondamentalement isolationniste mais aussi pragmatique, une décentralisation massive et profonde afin de respecter le principe de subsidiarité, une libéralisation de l'éducation notamment grâce au chèque scolaire et au développement de l' enseignement privé hors contrat, une politique d' immigration restreinte et suivie d'une politique d'intégration assimilationniste, etc. Cette tendance se retrouve particulièrement au sein des courants La Droite populaire et La Droite libre ;
- les libéraux réformateurs trouvent leur origine à DL ( Hervé Novelli), au RPR ( Patrick Devedjian) ou à l' UDF ( Pierre Méhaignerie), ils sont notamment regroupés au sein du club Les Réformateurs, et des Cercles libéraux présidés par Alain Madelin. Cette famille trouve dans le libéralisme politique et économique une solution globale pour la société française. La liberté est donc leur valeur fondamentale et doit prévaloir à tous les niveaux qu'il s'agisse du développement économique, sur lequel ils mettent le plus l'accent, du champ d'intervention de l'État ou des questions sociétales (liberté individuelle). Ils rejettent l'égalitarisme, le dirigisme et encouragent les mouvements de mondialisation et de libéralisation de l'économie qu'ils estiment positifs. Cette famille constitue un soutien important de Nicolas Sarkozy qui, cependant, apparaît un peu moins libéral qu'il ne l'a été. On peut notamment citer David Martinon, ancien porte-parole de Nicolas Sarkozy, ou encore Emmanuelle Mignon, sa directrice de cabinet et l'une de ses « plumes » [95].
- les libéraux de centre droit ( Jean-Pierre Raffarin, Hervé de Charette, Gérard Longuet, Philippe Douste-Blazy, Pierre Méhaignerie, Jean-Claude Gaudin, Jean Leonetti, Dominique Bussereau, Marc Laffineur, Dominique Dord, Luc Chatel, Bruno Le Maire, Hervé Mariton, Franck Riester, Virginie Calmels) étaient notamment regroupés au sein des groupes de réflexion Démocrate et populaire, Convention démocrate puis France moderne et humaniste. Ils sont aujourd’hui représentés par Droite Lib. Ils se placent dans la tradition orléaniste de la droite française et dans l’héritage dee la Fédération nationale des républicains indépendants, du Parti républicain et de Démocratie libérale. Idéologiquement ils sont très européens, plutôt fédéralistes (au niveau européen, mais aussi dans leur approche très « décentralisatrice » de l'organisation de l'État français) et revendiquent un libéralisme économique et social. On peut également classer dans cette famille les figures d’ Antoine Pinay, de Valéry Giscard d'Estaing, de Raymond Barre et d’ Alain Madelin. Ils se sont ralliés aux Juppéistes lors de la primaire de la droite et du centre de 2016 [96], [97].
Conservateurs
Les conservateurs trouvent leur origine au sein du RPR, du RPF de Charles Pasqua ou du MPF et constituent l'aile la plus conservatrice du parti, avec La Droite populaire. Ils se réclament généralement de l'héritage gaulliste, dont ils retiennent essentiellement les prises de positions souverainistes et en faveur d'une « Europe des Nations », mais s'en écartent en assumant la promotion d'une droite « décomplexée ». Eurosceptique, cette tendance est souvent considérée proche de mouvements externes classés à la droite du parti, comme les partis souverainistes (MPF de Philippe de Villiers ou bien Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan), et exprime son attachement à la prise en compte des aspirations des électeurs du Front national, tout en affirmant vouloir indéfectiblement rester dans la famille de la droite républicaine. Le positionnement patriote et souverainiste de cette tendance lui donne une influence plus grande que son poids réel au sein du parti en ce qu'elle tient un discours susceptible d'attirer les suffrages d'électeurs du Front national.
La démocratie chrétienne est un courant de pensée politique, se référant à des principes religieux, qui se développe en Europe à partir de la fin du XIXe siècle. Elle cherche à promouvoir, au sein d’une société démocratique et pluraliste, une politique inspirée du message qu’expriment les Évangiles, la doctrine sociale de l' Église et les travaux de penseurs chrétiens.
- les chrétiens sociaux ou conservateurs sociétaux ( Christine Boutin) sont notamment rassemblés au sein du Parti chrétien-démocrate. Historiquement proches des démocrates chrétiens, ils en constituent une tendance plus affirmée dans son attachement aux valeurs catholiques, rejetant le libéralisme à la fois d'un point de vue sociétal (participation aux marches anti-IVG, opposition au PACS) et économique. Ils se caractérisent notamment par des prises de positions très sociales (par exemple le revenu universel) dans une démarche vers des catégories de populations qu'ils estiment négligées ou rejetées par la société (les détenus, sans abris…), souhaitant ainsi être les tenants d'une droite « plus humaine ».
Les idées des conservateurs, incluant un questionnement sur l'identité nationale mais aussi un renforcement des mesures de lutte contre l'immigration et l'insécurité, sont reprises — sur les conseils de Patrick Buisson — par Nicolas Sarkozy dans l'optique de prendre des voix au Front national [98]. Ces positions ont pu créer des tensions au sein de la droite : ainsi, début 2011, un débat sur la laïcité, considéré comme anti- islam par des médias et les différents cultes [99], provoque des dissensions entre le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, le secrétaire général de l' UMP, Jean-François Copé, et le Premier ministre, François Fillon [100]. Deux mois plus tard, un débat sur la double nationalité, reprenant des propositions de Claude Goasguen [101] mais aussi de Marine Le Pen [102], oppose les députés de La Droite populaire à des élus centristes ou plus modérés comme Étienne Pinte ou Nathalie Kosciusko-Morizet [103].
Gaullistes
Depuis la création de la Ve République en 1958, les gaullistes constituent de facto la force principale de la droite française. Ils se placent dans l'héritage du général de Gaulle, dont ils mettent en avant le volontarisme politique au service de la grandeur et des intérêts du pays. D'abord regroupés au sein de l'UNR et de l'UDR, ils sont à l'origine de la création du RPR (1976).
Avec le temps, des filiations politiques s'opèrent dans les rangs néo-gaullistes, selon l'influence particulière de personnalités qui les incarnent. On peut distinguer ainsi :
- Les « chiraquiens », fidèles à l'action de Jacques Chirac et majoritaires au RPR puis à l'UMP jusqu'en 2004. Leurs représentants — parmi lesquels Alain Juppé, François Baroin, Hervé Gaymard — , un moment appelés « chiraco-villepinistes », ont gardé du général de Gaulle une approche pragmatique du pouvoir qui peut les amener, parfois inspirés aussi par le radicalisme, à défendre tantôt des idées d'inspiration libérale, tantôt des positions sociales et étatistes, mais nuancent fortement pour la plupart la geste transpartisane du gaullisme traditionnel : même si certains s'en défendent, ils ont été les artisans de l'ancrage « à droite » du gaullisme, à la suite de Georges Pompidou. Attachés à l'indépendance nationale, ils se rallient à la construction politique de l'Union européenne en privilégiant la démarche intergouvernementale. Vigilants sur les enjeux militaires, diplomatiques et culturels, ils sont soucieux du rôle régulateur de l'État dans la mondialisation. Parmi eux, les gaullistes dits « légitimistes », attentifs à la question de l'autorité et au respect de la lecture gaullienne des institutions de la République, tels que Michèle Alliot-Marie (via son mouvement Le Chêne), ne perçoivent pas le libéralisme comme solution globale et apparaissent comme les lointains héritiers de la tradition bonapartiste.
- Les gaullistes sociaux ou « séguinistes » (en référence à Philippe Séguin), dont François Fillon, Roger Karoutchi et Henri Guaino. Sensibles au thème de la participation ou plus généralement au gaullisme de gauche, continuateurs du courant d'idées représenté en son temps par Louis Vallon, René Capitant ou dans une moindre mesure Jacques Chaban-Delmas, ils mettent l'accent sur une certaine forme de démocratie sociale, teintée de dirigisme, sans toutefois remettre en cause les fondements du libéralisme. Ils s'avèrent souvent progressistes sur les questions de société et comprennent une tendance cogestionnaire. Ils sont notamment présents dans le club Force républicaine de François Fillon, le Club Nouveau siècle, ainsi qu'à l' Union des jeunes pour le progrès (UJP) de Ferréol Delmas. À l'origine hostiles à une Europe supranationale et trop libérale, ils se sont, derrière Philippe Séguin, opposés au traité de Maastricht (1992). Néanmoins, ils ont évolué depuis sur cette question et certains ont fait campagne pour le « oui » lors du référendum de 2005 sur le Traité établissant une constitution pour l'Europe. Lors de la campagne présidentielle 2017, François Fillon, vainqueur de la primaire organisée par le parti, défend l'idée d'une « France souveraine dans une Europe respectueuse des nations » tout en plaidant pour un renforcement de l’Union européenne en matière d'immigration ou de fiscalité, mais aussi pour un rapprochement avec la Russie [104].
Structures interne
Les Jeunes Républicains
Les Jeunes Républicains rassemblent les adhérents du parti Les Républicains âgés de 16 à 29 ans. Le mouvement a, à sa tête, un président élu pour deux ans. Tous les adhérents du parti de moins de 30 ans sont inscrits automatiquement chez les Jeunes Républicains. Une fois le cap des 30 ans atteint, les adhérents sont radiés du mouvement de jeunesse.
Son fonctionnement repose sur une organisation décentralisée. Ce fonctionnement est confirmé en 2004 avec l'établissement de statuts garantissant l'élection du président des Jeunes Républicains par les conseillers nationaux des Jeunes Républicains (CNJR), eux-mêmes élus par l'ensemble des adhérents.
Au niveau local cependant, les responsables départementaux jeunes (RDJ) sont nommés par le président des Jeunes Républicains en accord avec le secrétaire départemental de la fédération Les Républicains. Un responsable départemental ne peut donc être nommé si le parti ne le souhaite pas. Inversement, le RDJ ne peut pas être nommé sur ordre du secrétaire départemental. Dans la réalité, il s'agit le plus souvent d'un accord entre les parties.
Les Jeunes Actifs
Les Jeunes Actifs sont une autre organisation interne au parti pour laquelle l'appartenance n'est pas liée à une tranche d'âge spécifique, mais plutôt au fait d'exercer une activité professionnelle. L'association a été créée par François Guéant dans le courant de l'année 2005 et elle est présidée par Gilles Laborde [105] de 2008 à 2010.
Siège du parti

Le siège du parti se situe à Paris. Entre 2002 et 2011, il est domicilié au 55 rue La Boétie ( 8e arrondissement) lorsque le parti s’appelait l' Union pour un mouvement populaire. Ne souhaitant plus payer un loyer annuel de 4 millions d'euros à cette adresse, il déménage en 2011 au 238 rue de Vaugirard ( 15e arrondissement), un immeuble acquis l'année précédente [106].
Cette acquisition, permettant une économie de coûts de fonctionnement, s'élève à 40 millions d'euros (19 millions d'euros pour acheter le bâtiment, 21 pour le réhabiliter) et est financée en majeure partie par un emprunt de 32 millions d'euros contracté sur une période de 13 ans et demi. Le siège est composé d'une façade vitrée élaborée par l'agence d'architecture JJ Ory Architecte. Cet immeuble, un ancien garage Renault, est d'une superficie de 5 500 m2 [106]. Il est doté d'une vaste salle de conférences, d'un amphithéâtre de près de 400 places et de cinq étages de bureaux [107].
En juillet 2017, Le Monde fait part d'une situation financière comprenant une dette à hauteur de 55 millions d'euros [108].
Figures politiques
Le parti Les Républicains compte ou a compté dans ses rangs plusieurs personnalités figures de la politique française, qui ont parfois pu occuper les plus hautes fonctions de la République :
- un ancien président de la République : Nicolas Sarkozy (2007-2012), président du parti de 2015 à 2016.
- trois anciens Premiers ministres : Alain Juppé (1995-1997), Jean-Pierre Raffarin (2002-2005) et François Fillon (2007-2012).
- un président du Sénat : Gérard Larcher (depuis 2014).
- deux anciens présidents de l'Assemblée nationale : Patrick Ollier (2007) et Bernard Accoyer (2007-2012).
- deux présidents de groupes parlementaires étiquetés LR :
- au Sénat, Bruno Retailleau (depuis 2014) ;
- à l'Assemblée, Christian Jacob (depuis 2010).
Résultats électoraux
Élections présidentielles
Année | Candidat | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | ||
2017 | François Fillon | 7 213 797 | 20,01 | 3e |
Élections législatives
Année | Premier tour | Second tour | Sièges | Rang | Position | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
2017 | 3 573 366 | 15,77 | 4 040 016 | 22,23 | 112 / 577 |
2e | Opposition |
Élections sénatoriales
Année | Sièges | Rang | Résultat |
---|---|---|---|
2017 | 146 / 348 |
1er | Majorité |
Élections européennes
Année | Voix | % | Sièges | Rang | Tête de liste | Groupe |
---|---|---|---|---|---|---|
2019 a | 1 920 407 | 8,48 | 7 / 74 |
4e | François-Xavier Bellamy | PPE |
a Liste commune avec Les Centristes, qui obtiennent un siège.
Élections régionales
Année | Premier tour | Second tour | Conseillers | Présidents | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Voix | % | Rang | |||
2015 [n 1] | 5 827 419 | 26,84 | 2e | 10 127 619 | 40,24 | 1er | 478 / 1 722 |
7 / 17 |
- Union de la droite et du centre.
Partis et structures associés
Groupes parlementaires
Partis politiques associés
Les partis politiques associés aux Républicains le sont selon les statuts du mouvement ou selon les alliances sur le terrain.
Partis politiques associés actuels
- Chasse, pêche, nature et traditions (CPNT) de Frédéric Nihous puis Eddie Puyjalon, depuis 2012.
- Nouveau Centre-Les Centristes (NC-LC) d' Hervé Morin, depuis 2007 (membre de l' Union des démocrates et indépendants de 2012 à 2017).
- Le Parti chrétien-démocrate (PCD) de Christine Boutin puis Jean-Frédéric Poisson, depuis 2009.
Partis politiques anciennement associés
- Alliance pour la diversité républicaine (ADR) de Dominique Paillé.
- Le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) d'Annick du Roscoät, de 2002 à 2008 [109].
- Le Mouvement démocrate (MoDem) de François Bayrou, notamment lors des élections municipales de 2007 à 2017.
- Le Parti radical (RAD) de Jean-Louis Borloo de 2002 à 2017 (ancien membre de l' Union des démocrates et indépendants (UDI) de 2012 à 2017).
- Le Rassemblement pour la France (RPF) de Charles Pasqua.
- L' Union des démocrates et indépendants (UDI) de Jean-Louis Borloo puis Jean-Christophe Lagarde, de 2012 à 2017.
Partis politiques locaux
C'est le cas également de partis politiques à portée strictement locale :
- le Mouvement populaire calédonien ( Nouvelle-Calédonie) à partir du [110] ;
- le Rassemblement de Thierry Santa ( Nouvelle-Calédonie) ;
- O Porinetia to tatou ai'a de Gaston Tong Sang ( Polynésie française) à partir de 2009 ;
- Objectif Réunion, mouvement politique local affilié de Didier Robert ( La Réunion), sénateur et président du conseil régional de La Réunion.
Autres mouvements associés
- Club Nouveau siècle de Bernard Reygrobellet ( gaullisme social et de gauche).
- Comité de liaison de la majorité présidentielle de Nicolas Sarkozy, François Fillon et Jean-Claude Gaudin.
- Convention démocrate d' Hervé de Charette ( libéralisme), de 2002 à 2011.
- Démocrate et populaire ( centrisme et social-libéralisme).
- Droite Lib de Virginie Calmels ( libéralisme).
- Génération France.fr de Jean-François Copé ( néo-gaullisme).
- Fondation pour l'innovation politique de Dominique Reynié ( libéralisme).
- Force républicaine de Bruno Retailleau ( gaullisme social et libéral-conservatisme).
- France audacieuse de Christian Estrosi ( néogaullisme et sarkozysme).
- France moderne et humaniste de Jean-Pierre Raffarin, Luc Chatel, Jean Leonetti et Marc Laffineur ( libéralisme, centrisme et giscardisme).
- L'Atelier des professionnels réformistes de Toulouse.
- L' Union des jeunes pour le progrès de Sabrina Arnal ( gaullisme).
- La Boîte à idées de Maël de Calan, Enguerrand Delannoy et Matthieu Schlesinger.
- La Droite libre de Rachid Kaci ( libéralisme).
- La Diagonale de Brice Hortefeux ( sarkozysme de gauche).
- La Droite forte de Guillaume Peltier et Geoffroy Didier ( sarkozysme et libéral-conservatisme).
- La Droite populaire de Thierry Mariani et Lionnel Luca ( conservatisme et souverainisme).
- La Droite sociale de Laurent Wauquiez ( conservatisme).
- Le Chêne de Michèle Alliot-Marie ( néo-gaullisme).
- La France droite de Nathalie Kosciusko-Morizet ( néo-gaullisme, centrisme et social-libéralisme).
- Le Lab LR d'Aurane Reihanian.
- Le Labo des idées de Valérie Pécresse ( gaullisme social).
- Les Gaullistes sociaux de Daniel Fasquelle ( gaullisme social).
- Les Nouveaux Républicains de Philippe Juvin et Camille Bedin.
- Les Populaires de Guillaume Peltier ( sarkozysme).
- Les Progressistes d' Éric Besson ( sarkozysme de gauche) [111].
- les Réformateurs d' Hervé Novelli ( libéralisme et giscardisme).
- Libres ! de Valérie Pécresse.
- Mouvement initiative et liberté ( gaullisme).
- Nation et progrès d' Isabelle Caullery (proche du RPF : gaullisme et souverainisme).
- Nouvelle-France de Michèle Alliot-Marie ( néo-gaullisme).
- Nouvel Oxygène de Laurent Wauquiez ( conservatisme).
- Oser la France de Julien Aubert ( gaullisme et souverainisme).
- Réforme et modernité de Hervé Mariton et François Goulard ( libéralisme).
- Sens commun de Madeleine de Jessey et Laurence Trochu ( conservatisme social et christianisme social).
Publications
Les Éditions des Républicains (société d'édition du parti Les Républicains) éditent et publient plusieurs revues [112]:
- Les Républicains Magazine, revue trimestrielle du mouvement ;
- Le Bulletin des élus locaux, mensuel à destination des collectivités territoriales ;
- Le Mouvement des Idées, revue de débats, en principe trimestrielle [113], [114].
Affiliations internationales
Les Républicains sont membres de trois organisations dont deux internationales et une européenne [11] :
- Union démocrate internationale ;
- Internationale démocrate centriste ;
- Parti populaire européen (PPE) ;
- Jeunes du Parti populaire européen (ou Youth of the European People's Party, Yepp).
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Union pour un mouvement populaire » (voir la liste des auteurs).
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Le Mouvement des idées » (voir la liste des auteurs).
- Diane Malosse, « Droite : ces Républicains qui ne veulent pas se mettre en marche ! », Le Point, (consulté le 18 août 2017)
- « L'UMP devient « Les Républicains », sur franceinter.fr, (consulté le 18 juin 2015).
- « Les Républicains » : comment Sarkozy veut dépasser la logique de parti », sur lessechos.fr, (consulté le 18 juin 2015).
- (es) « Sarkozy apela a las esencias republicanas para reconquistar el poder », sur abc.es, (consulté le 18 juin 2015).
- (en) « Hollande and Sarkozy are battling for the French Presidency — but France doesn't want either of them », sur uk.businessinsider.com, (consulté le 18 juin 2015).
- (en) « The ‘Republican Party’ is coming to France », sur washingtonpost.com, (consulté le 18 juin 2015).
- https://www.mediapart.fr/journal/france/141019/les-republicains-sont-l-un-des-partis-conservateurs-les-plus-en-perdition
- (en) Wolfram Nordsieck, « France », sur parties-and-elections.eu.
- « Fillon, le triomphe du libéral-conservatisme », sur Causeur, .
- « Libéral et conservateur : le programme de François Fillon pour la France », sur Le Parisien, .
- « Les Républicains (LR) », sur France politique (consulté le 4 juin 2017).
- Le parti Les Républicains compte plus de 238.200 adhérentsLe Point avec l'AFP, publié le 08/01/2016
- « Elections 2019 : Guide Electoral », sur https://www.republicains.fr.
- « Les partisans de Jacques Chirac annoncent la création de l'Union pour la majorité présidentielle (UMP) », sur Le Monde.fr (consulté le 18 septembre 2018).
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- « Le MPC adoubé par l’UMP » [ archive du ], sur www.lnc.nc, (consulté le 23 juillet 2016).
- « Qui nous sommes », sur www.les-progressistes.fr.
- « Les Editions des républicains - Qui sommes nous? », sur www.editions-des-republicains.fr.
- « Répertoire de la Bibliothèque nationale de France ».
- « Copé ne veut plus être un bad boy », sur lexpress.fr, .
Voir aussi
Articles connexes
- Rassemblement du peuple français (RPF)
- Groupes gaullistes à l'Assemblée nationale
- Républicains sociaux (RS)
- Union pour la nouvelle République (UNR)
- Union pour la nouvelle République - Union démocratique du travail (UNR - UDT)
- Union des démocrates pour la cinquième République (UD- Ve)
- Union pour la défense de la République (UDR)
- Union des démocrates pour la République (UDR)
- Union des jeunes pour le progrès (UJP)
- Rassemblement pour la République (RPR)
- Union pour un mouvement populaire (UMP)
- Groupes parlementaires : groupe LR au Sénat, groupe LR à l'Assemblée nationale
- Personnalité des Républicains